Décidément, la figure du diable est très présente dans cette rentrée littéraire. Qu’il apparaisse sous la forme d’un petit garçon noir dans « L’été où tout a fondu », qu’il vive au fond de la forêt amazonienne et soit assimilé à une maladie contagieuse dans « Darwyne », qu’il surgisse sous la peau d’un père qui ne sait pas …