Dans « À Dieu vat », nous sommes dans l’euphorie de l’après-guerre sur les bords de Marne où les gens se rencontrent, dansent et s’aiment. La Première Guerre est terminée, on pense à vivre, au moment présent où aucun nuage ne doit assombrir le ciel bleu. C’est ici que Georges Chardin et Irène Marchand se rencontrent en …