Cette année, je vous propose un classement par thématiques pour vos achats de Noël.
Depuis la création de mon blog, j’ai eu la chance de lire presque tous les genres littéraires. Certains ont été d’énormes coups de cœur et il est, à mon sens, toujours important d’en reparler qu’ils soient anciens ou plus récents, pour ne pas les oublier. Je commence ces billets « offrez des livres à Noël » avec « Les grands romans anglophones » lus depuis 2016, c’est-à-dire depuis la création de mon blog. Évidemment, dans cette catégorie, il en existe beaucoup d’autres, mais je voulais seulement vous parler de ceux qui ont traversé ma route depuis 2016 et ont laissé un souvenir impérissable dans ma mémoire. Il m’en reste tellement à découvrir qu’il est fort probable que ce genre de billet revienne régulièrement. Et vous ? Quels sont les grands romans anglophones qui vous ont marqués ?
Un shooting éclate dans une école : 13 lycéens sont tués.
Le fils de Simon, Jake, manque à l’appel. Il est rapidement désigné comme le responsable du massacre.
Ce roman noir, « Jake » est un roman d’introspection, analysant finement les sentiments et émotions d’un père devant la cabale médiatique, dont son fils est la victime toute trouvée. Un rythme haletant, un suspense intense et une myriade d’émotions. Roman oppressant, angoissant, et vibrant.
« My absolute darling »est l’histoire de Turtle, 14 ans. Elle arpente les forêts de Californie, se réfugie sur des îlots pour fuir un père abusif. Elle a verrouillé son coeur à double tour pour ne pas souffrir, jusqu’au jour où… Ce roman est un concentré de l’âme humaine, de la plus pure à la plus obscène, mais c’est aussi une quête vers soi-même. Le style de Gabriel Tallent est exceptionnel de réalisme et de beauté, oscillant sans cesse entre l’innocence et l’abject. Turtle a une place à part dans mon coeur de lectrice. Existe en poche et en version audio. (Prix Audiolib 2019)
Où l’on reparle de l’enfance…
Karen Dionne nous plonge dans un huit clos suffocant au coeur d’un marais au coeur de l’Etat du Michigan.
Outre les descriptions de la nature qui bruisse au rythme des saisons, c’est un récit en deux temps qu’elle nous propose : celui d’une vie passée auprès d’un père brutal et d’une mère effacée de par sa condition de captive, et celui du présent, où adulte, Héléna se retrouve dans l’obligation de traquer ce père échappé de prison.
Si vous avez aimé “My Absolute Darling”, foncez ! Existe en poche.
« Papillon de nuit » est le premier ouvrage de RJ Ellory publié aux éditions Sonatine. Il est assez enivrant de découvrir la patte de l’auteur à ses débuts. On y retrouve tout ce que j’aime chez lui : l’atmosphère noire, des personnages denses, des réflexions intimes sur l’Humanité et le sens de la vie, des sujets polémiques concernant l’Histoire américaine. J’aime son regard sur ce sujet : il est sans concession et d’une grande lucidité.On ne grandit qu’au contact des autres parfois dans la fureur et dans le bruit, parfois dans l’amitié ou l’amour. Cette compassion qu’Ellory possède pour le genre humain, cette propension à accepter les forces et les faiblesses, les actes justes et les injustices, font de ses romans des œuvres humanistes.
Cataclysme dans ma vie de lectrice : la découverte de RJ Ellory et de son écriture ensorcelante avec « Seul le silence », chemin de vie d’un homme. Une écriture qui allie justesse, finesse, toute puissance des émotions dans une ambiance cinématographique. Fabuleux ! Existe en poche, en BD et en version audio.
“Il y a deux choses qu’on ne peut pas effacer, mon gars : ce qu’on a fait, et ce qu’on a dit. « Le chant de l’assassin» est d’abord un récit sur la parole donnée… Puis il devient un prodigieux chant d’amour et d’humanité. Ce roman est un chef-d’oeuvre du roman noir et RJ Ellory y signe sans doute l’une de ses plus belles partitions. Existe en poche.
« J’ai plus de souvenirs que si j’avais mille ans. » Charles Baudelaire.
Parfaite citation pour illustrer le roman de Ken Grimwood, “Replay” dans lequel Jeff Winston peut “rejouer sa vie”. Enormissime coup de coeur pour un livre atypique aux multiples interrogations sur l’essence de la vie, magnifique histoire d’amour entre deux âmes sœurs qui se cherchent, se trouvent, se perdent et comprennent ensemble la quintessence de la vie.
Taz et Manie vivent dans une petite ville du Montana. Ils achètent une maison, véritable ruine, seuls les murs tiennent debout, c’est le chantier d’une vie : tout est à y reconstruire. Quand Marnie annonce qu’elle est enceinte, les priorités s’accélèrent, mais Manie meurt d’une embolie pulmonaire en donnant la vie à Midge. C’est le commencement d’une vie en chantier, d’une blessure béante, d’une petite fille bien vivante, et d’un père qui tente de garder la tête hors de l’eau. Être père ne se transmet pas. Être père s’apprend. À coup d’erreurs, à coup d’échecs, à coups de petites victoires sur le quotidien. Le lecteur silencieux est placé comme témoin privilégié de cette intimité, spectateur de la construction d’un lien au milieu d’un champ de ruine, au sens propre comme au sens figuré. Pete Fromm fait partie de mes écrivains préférés. Existe en poche.
Harley est élevée par son père Duke dans une petite bourgade du nord de Californie. Là-bas règne la loi du plus fort, les ennemis potentiels sont éradiqués au fur et à mesure des embrouilles, et Duke est le chef craint et autoproclamé de cette communauté placée sous son joug. Vous trouverez dans ce roman une belle dualité entre l’éducation du père et l’héritage de la mère, Jeannie, esprit libre et solaire, dont la mission première est de protéger les femmes. L’auteur surfe avec dextérité sur deux personnages clés, le père et la mère décédée, complètement antinomiques en plaçant son héroïne au carrefour de son destin. Une héroïne sublime et inoubliable. Existe en poche et en version audio.
Noah Harper travaille dans les services de police d’une petite ville imaginaire des États-Unis, Acacia Pines. Pour retrouver une petite file disparue, Alyssa, il ne néglige aucune piste…encore moins ses méthodes en matière d’interrogatoire.Il est obligé de quitter la ville. Quelques années plus tard, Alyssa disparaît à nouveau et Noah revient tenir ses promesses. Ce roman dégage une formidable énergie, l’intrigue est menée tambour battant. Atmosphère anxiogène garantie, grâce à une ville coupée du monde, retranchée dans les petits secrets de ses habitants… Paul Cleave vous emprisonne littéralement dans son livre. Existe en poche.
« Les Testaments » de Margaret Atwood met en lumière la chute d’un régime utopique gangrené de l’intérieur, par l’intermédiaire de 3 voix féminines. Le récit se déroule 15 ans après « La servante écarlate », à un moment décisif où leurs destins se croisent. Un roman profondément citoyen, résolument tourné vers la cause des femmes. Margaret Atwood est une voix à écouter en ces temps troublés. Existe en poche et en version audio.
L’imagination de Stephen King semble être sans limite. « L’institut » en est une formidable démonstration. Luke, 12 ans et surdoué est kidnappé à son domicile. Il se réveille dans un institut, dans une chambre en tous points similaires à la sienne.D’autres enfants vivent là, tous dotés de pouvoirs bien spécifiques. Un roman totalement immersif. Existe en poche et en version audio.
Dystopie et réalité, deux mots qui me viennent spontanément à l’esprit pour vous parler du remarquable « MotherCloud » de Rob Hart.
Une écriture précise et minutieuse.
Une progression du récit méthodique, implacable et totalement immersive.
«Le jour où Kennedy n’est pas mort» est une formidable uchronie imaginée par RJ. Ellory, basée sur une famille au destin tragique et de l’Histoire qui tourne différemment. Au risque d’écorner un mythe… Au risque de servir l’adage que le souvenir des morts tragiques efface toujours les réalités de leur vivant. Passionnant ! Existe en poche.
Roman post-apocalyptique, «Le Livre de M» part d’un postulat simple : les hommes se mettent peut à peu à perdre leur ombre, puis leurs souvenirs… «Pourquoi avait-il fallu que les ombres soient le lieu du corps où gisent les souvenirs ?» Un premier roman brillant dans lequel Peng Shepherd raconte le destin d’hommes et de femmes ordinaires qui subissent un véritable cataclysme. Un véritable ciel étoilé d’imagination pour un roman profond, dense et intime. Venez rêver. Existe en poche et en version audio.
Connaître ses racines pour grandir, passer de l’innocence de l’enfance à la condition de femme. Entourée d’un père rêveur, profondément optimiste, mais suffisamment réaliste pour donner des armes qui aideront à lutter contre le patriarcat blanc, et d’une mère maquée au fer rouge par le violence de son passé, “la petite indienne” devient la détentrice des mythes et légendes Cherokees et d’un vécu familial qu’elle transmet par l’écriture. Tiffany Mc Daniel signe ici un roman remarquable, poétique et envoûtant. Existe en poche et en version audio.
Un voyage vers l’Antarctique pour suivre des Sternes arctiques, dernière espèce encore vivante sur notre planète, ça vous tente ?
Charlotte McConaghy nous embarque dans un voyage inoubliable au cœur d’une terre blessée et d’une âme en recherche de paix intérieure.
« Migrations » raconte le voyage de ces oiseaux exceptionnels, mais aussi celui d’un exode intime, d’une fuite introspective : celle de Franny.
Un roman de toute beauté même si « L’être humain est la pire des plaies pour ce monde. »
« Komodo » est le récit intime d’une femme sur la corde raide. Tracy confie son expérience de la maternité, « cette peine à perpétuité », « cet isolement au cachot », « cette liberté surveillée » inhérents au rôle de mère qu’elle interprète depuis 5 ans. En se glissant dans la peau de cette femme, David Vann orchestre une purge des émotions.
Seul le monde du silence et la beauté des fonds marins apportent à Tracy un sentiment de paix, difficile à abandonner sur la terre ferme, qui intensifie davantage le poids de sa charge mentale et l’amène à toutes les extrémités.
Une lecture aussi oppressante que paisible qui nous embarque au cœur des contradictions de l’âme humaine. Existe en poche.
“Brasier noir” est le premier tome d’une trilogie consacré à la ségrégation dans les années 60 dans une petite ville du Mississippi. Secrets, disparitions inexpliquées, meurtres, Greg Iles nous immerge dans une époque nauséabonde, au plus près des drames humains, dans une ambiance où le maître mot semble être : sauver sa peau. Grâce à une écriture hyper réaliste, le récit décline des personnages charismatiques, une atmosphère poisseuse qui vous attire autant qu’elle vous révulse. Un récit d’une intensité viscérale, d’une profondeur instinctive et d’une puissance magistrale. Du grand art ! Existe en poche.
La famille ! Un autre de mes sujets de prédilection. Dans ce premier roman, Claire Lombardo décrypte les liens fraternels autour d’un couple incroyablement uni. Roman fleuve, saga familiale, “Tout le bonheur du monde” couvre 40 ans de la vie des Sorenson, entre rires et larmes, bonheurs et drames. Une pure merveille à déguster. Existe en poche et en version audio.

Et si un mystérieux virus mettait en péril l’humanité? Et si un seul troupeau de marcheurs était mystérieusement protégé de l’épidémie ? En 2019, Chuck Wendig imaginait un récit fascinant où un monde, malade, disparaissait progressivement. “Les somnambules” mélange les genres et l’auteur offre un roman prophétique d’une rare densité, mêlant relations humaines, thématiques sociopolitiques et personnages attachants. Les 1165 pages se dévorent, on ne voit pas le temp passer ! Là encore, du grand art. Existe en poche et en version audio.


Dépaysement total dans le nouveau roman de Pete Fromm. Un voyage en canoë, une ultime aventure d’un père et de ses deux enfants sur « Le lac du nulle part », au Canada, au mois de novembre. Cette nature, qui peut à peu se transforme au rythme de la saison est le théâtre de l’histoire familiale commune.
Immersion totale au cœur de ce voyage truffé de souvenirs d’enfance et de secrets, le genre de roman duquel il est terriblement difficile de sortir. Au gré des lacs qu’ils traversent, des gestes qui reviennent comme des automatismes, des rassemblements autour du feu, du froid qui se fait plus mordant, l’auteur ouvre doucement la porte vers quelque chose de plus sombre…
Des lieux enchantés et sauvages pour un roman superbe… et cette plume poétique et vivante de l’écrivain au plus près de l’intime…
Deux destins de femmes qui n’ont pas pris la même voix. L’une fait des études prestigieuses de photographie à l’université, l’autre termine son lycée. Elles ont une seule chose en commun : elles vont tomber enceinte en même temps. L’une gardera l’enfant, l’autre pas. Et après, à quoi vont ressembler leurs vies ? Jean Hegland raconte dix ans des existences d’Anna et de Cerise, dix ans d’espoirs et de drames, mais elle décrypte surtout le corps des femmes, les choix des femmes et leurs conséquences. « Apaiser nos tempêtes » déclenche un brasier d’émotions et renvoie à notre passé, nos combats intérieurs, nos mémoires émotionnelles de femmes et de mères. Mention spéciale pour la version audio.
« Le silence des repentis » explore l’amour. Infini. profond. Viscéral. D’un père pour sa fille. Lui c’est Cooper, elle c’est Finch, ils vivent dans une cabane, au coeur de la forêt. Progressivement, Kimi Cunningham Grant fait monter la tension : dans ce huis clos à ciel ouvert, l’absence de ravitaillement annuel bouleverse les habitudes et fait prendre des risques. J’ai été intensément touchée par ce duo impossible à oublier, un père en constante interrogation sur son passé et sur la vie qu’il offre à sa fille, et sa fille qui cherche à prendre son envol. Un récit splendide, habité par des personnages sublimes.
« Duchess » est une hors-la-loi, de ces héroïnes qui. nous hantent et s’immiscent dans nos vies par la grande porte : celle du roman noir, dans ce qu’il a de plus sombre et de plus lumineux. Une Calamity Jane au caractère bien trempé, aux convictions fortes, qui a un sens aigu de la justice et met son existence entière au service de son petit frère. Tirer les mauvaises cartes à la naissance, survivre aux drames et aux désillusions n’empêche pas Duchess Day Radley de combattre les injustices. A chaque chute, elle se relève, à chaque meurtrissure de son âme, elle trouve la force de repartir. « Duchess » est un roman d’une intensité folle, peuplé de personnages sublimes, de territoires à conquérir. Enorme coup de coeur pour un récit ambitieux, riche en émotions, raconte de main de maître par Chris Whitaker.
Kya, 10 ans surnommée la fille des marées vit à Barkley Cove, seule, abandonnée de tous. La vie dans le marais devient sa seule famille. Elle l’observe, le dessine, le vit au rythme des saisons. Lorsqu’elle rencontre Tate, le sentiment d’abandon disparaît petit à petit, elle lui fait confiance. Et puis, Tate part faire des études… et Kya croise alors sur son chemin une possibilité d’échapper à l’isolement. Sauf que la vie parfois, surtout quand elle a été difficile, vous oblige à sortir du chemin que vous vous étiez fixé. «Là où chantent les écrevisses» est une plongée en pleine nature, mais aussi une immersion dans l’existence difficile de cette jeune fille qui fait tout pour s’en sortir. Disponible en poche et en version audio ( Prix Audiolib 2021)
Premier roman et coup de maître pour « Ce qui vient après » qui porte formidablement bien son titre. Lorsqu’on a perdu l’essentiel, comment continuer à vivre ? Comment pardonner ? Comment refaire confiance ? Comment guérir ? JoAnne Tompkins a créé des personnages de toute beauté, lumineux par leur humanité, solaires par leurs émotions, éclatants par leur bonté d’âme, resplendissants par leurs qualités humaines. Des personnages que vous auriez envie de rencontrer « en vrai ». En débutant par un drame, puis une rencontre, l’auteur développe une succession de quêtes personnelles. « Ce qui vient après » traite de la vie, de réparation, d’espoir, de résilience et de lumière. Un énorme coup de coeur qui redonne foi en l’humanité.
Second Tiffany Mc Daniel de cette sélection, « L’été où tout a fondu». Le diable est invité dans la petite ville de Breathed. Il apparaît sous la forme d’un petit garçon noir. Est-il vraiment le diable ? Doit-on le craindre et l’éviter à tout prix ? Un roman intemporel, poétique et questionnant sur notre (in)humanité, abordant avec brio des thématiques de société essentielles et d’actualité. Tiffany McDaniel fait partie des grands écrivains de notre époque, alliant qualité d’écriture et substance narrative, une véritable magicienne des mots. A ne pas rater !
Pat Conroy rejoint mon Panthéon personnel des grands auteurs américains, raconteurs d’existences cabossées, créant un univers rien qu’à lui dans lequel ondoient des personnages sublimes par leurs vérités et leurs émotions. Plus qu’un roman, « Le prince des marées » est une thérapie, une analyse fine et percutante de l’enfance mise en face de la vie d’adulte. Quand l’effroyable côtoie les souvenirs doux, quand la famille défaillante fait naître des êtres tremblants, mais qui réussissent malgré tout à s’extraire du terreau anxiogène de leurs jeunes années, l’espérance renaît. Rien n’est jamais joué d’avance… UNE MERVEILLE . Disponible en poche.
“(…) et il écrit un livre sur la ville et ses habitants, sur ceux qui en font ce qu’elle est. Il n’y avait sans doute pas une vraie intrigue là-dedans. Peut-être que rien dans ce livre ne vous saisissait à la gorge ou ne vous glaçait le sang, mais il décrivait la vie. Le flux des choses et des voix, ces petits riens au quotidien dont sont faits les souvenirs. Il serpentait paresseusement, comme une rivière. on ne savait jamais ce qui nous attendait au détour du prochain méandre tant qu’on n’y était pas arrivé, mais c’était un voyage profond, distrayant, qui donnait envie d’aller plus loin.”
Voici une parfaite description de ce qu’est « Zephyr Alabama », ce genre de roman aux pages qui pourraient être illimitées, dont il serait impossible de se lasser tant y replonger offrirait cette parfaite béatitude au lecteur envoûté. Ce roman est un enchantement, une somme de petits riens qui fait un grand tout. Et comme pour la ville de Zephyr, la magie opère . Une lecture vraiment fabuleuse à ne pas rater.
«Billy Summers» résume parfaitement l’univers de Stephen King sans la part fantastique de certains de ses écrits. L’atmosphère des petites villes américaines, des personnages denses et attachants, une façon habile de construire son récit, et un roman dans le roman avec tous les conseils du Maître pour l’apprenti écrivain que devient Billy, alors sous couverture, dans la construction de sa légende pour sa dernière mission. Ce nouvel opus, oh combien touchant, dont le lecteur se délecte de la première à la dernière phrase, saura ravir la fan base, mais aussi ceux qui ne connaissent pas l’univers de l’auteur. Stephen King parle de SON Amérique, de ses lacunes, de ses ratés, de ses insuffisances et de ses injustices, il reste un témoin privilégié de SON époque, l’évoque avec tendresse, mais aussi avec gravité.
Je ne les ai pas tous lu mais pour ceux que j’ai lu je plussoie, RJ ellory, Pete Fromm, Tiffany MC Daniel,Chris Whitacker, Chuck Wending.
Jolie sélection
Lesquels aurais-tu rajouté ?
Quelle belle sélection 😍 il faut que je ressorte Tess de ma pal. Merci à toi Aude. 🙏😘
La bonne nouvelle, c’est que j’ai 12 romans de ta liste à la maison. La mauvaise, c’est qu’une grosse majorité est toujours dans ma PAL !
Mais il faut les sortir !! 😉
Ouiiiii mais je pense que les journées sont vraiment beaucoup trop courtes 🙈
Il en reste quelques uns que je n’ai pas lu 😉. Mais beaucoup en commun.
Voilà le genre de liste qui rallonge la mienne !
Pas facile de choisir, hein ! Et certains choix sont étonnants c’est super intéressant
Cette année je me frotte à ce redoutable exercice du choix 😉