Aude Bouquine

J’étais pourtant bien motivée à lire et faire baisser ma PAL… Échec complet, si ce n’est 3 romans dont je vous parlerais peut-être un jour ! Les sirènes de la rentrée littéraire m’ont invitée à venir voir de plus près ce qui se trame dans les sous-sols des éditeurs. S’agissant de sous-sol, j’y ai fait une merveilleuse découverte, chez un éditeur du même nom : « Notre part de nuit », sortie prévue le 19 août. Cela fait bien longtemps que je n’ai pas été aussi suspendue à une lecture d’un roman de plus de 600 pages… avec « Les somnambules » peut-être, qui dans le même genre, ouvre un univers narratif singulier et surfe sur les hautes sphères de l’imagination.

J’ai enfin lu « Changer l’eau des fleurs » commencé il y a quelques mois et abandonné… Mauvais timing, mauvaises conditions sans doute aussi. Juillet a été le moment parfait pour attaquer cette lecture, avec pour seul objectif : pas de chronique.Faites l’expérience. Observez-vous…

Pour faire suite à mon bilan du mois de juin dans lequel j’évoquais une prise de contact avec la librairie française de Budapest, j’ai le plaisir de vous annoncer que la gérante a répondu à mon mail. Nous allons nous rencontrer. Des rencontres sont déjà prévues avec Gaëlle Josse, Hervé Le Tellier et pour la jeunesse Jean-Claude Mourlevat et Patrick Ness. Évidemment, je m’y rendrai et je vous en reparlerai. Un club de lecture existe : nous verrons si la situation sanitaire permettra de le reprendre. Le Festival international du livre de Budapest aura lieu, en principe, du 4 au 7 novembre, là aussi, si tout va bien. Je vais aller à la pêche aux informations pour avoir plus de précisions. 

J’ai lu 5 romans de la rentrée littéraire, le sixième est en cours. J’emporte tous les autres en Bretagne. Bonnes vacances à tous, je vous embrasse.

 

LES DEMOISELLES, Anne-Gaëlle Huon, Albin Michel, sortie le 17 juin 2020.

 

Chronique perdue lors de mon changement d’ordinateur… Oh que c’est énervant !! J’essaie de la rédiger très vite.

 

Copie de mon post Facebook…

Lorsque je chronique un roman, je ne le lis pas de la même façon. Je suis perpétuellement à la recherche de mon angle d’approche, de la phrase qui servira mon propos, de ce que je vais écrire, et de comment je vais l’écrire. En commençant « Changer l’eau des fleurs », j’ai décidé de ne pas prendre de notes, refusé que mon cerveau finisse en ébullition, pris la décision de ne pas le chroniquer… simplement pour m’enlever cette « pression » que je me mets à moi-même. Cette lecture s’est résumée à Violette et moi, le texte et moi, les émotions et moi. Rien de plus, rien de moins. Je vais donc tenir cette promesse faite à moi-même.J’avais déjà lu et adoré « Trois », je prends les romans de Valérie Perrin à rebours, mais il n’est jamais trop tard pour découvrir l’œuvre d’un auteur, l’essentiel étant de la découvrir. Ce roman est magnifique, sensible, tendre, émouvant, triste et joyeux, le reflet parfait des émotions de la vie. J’ai tout aimé : la force des personnages, leur fragilité, leurs côtés obscurs, leurs forces insoupçonnées.L’écriture, vivante, savoureuse relaie avec brio les tiraillements et les tourments de l’existence. Un véritable bijou

 

Sortie 26 août 

 

Sortie 19 août 

 

Sortie 18 août 

 

Sortie 19 août 

 

Sortie 18 août 

 

En lecture…. sortie 19 août